Armin Strom a totalement repensé l’une de ses montres les plus marquantes de la dernière décennie, la One Week, dans un tout nouveau format. Logée dans un nouveau boîtier en acier avec bracelet intégré, elle est proposée en édition limitée à 25 exemplaires.
Armin Strom fait partie de ces quelques marques horlogères indépendantes pouvant se prévaloir de concevoir, élaborer et fabriquer certaines des montres mécaniques les plus exclusives. En 2010, elle dévoile la One Week, sa toute première montre équipée d’un mouvement élaboré et fabriqué en interne. Dotée d’une réserve de marche de sept jours et conçue en harmonie symétrique, cette pièce allait établir les bases pour de nombreuses autres innovations de la manufacture.
Adepte de l’horlogerie transparente, Armin Strom met un point d’honneur à toujours présenter les éléments mécaniques cinétiques du côté du cadran. La première édition de la One Week pousse cette caractéristique d’Armin Strom encore plus loin. Entièrement reconfiguré et repensé, le mouvement à remontage manuel est aussi sculptural que possible. La forme, la fonction, l’esthétique et l’ergonomie sont harmonieusement mises en avant.
Le nouveau calibre ARM21 à remontage manuel est équipé de deux barillets montés en série, afin de transmettre une source d’énergie constante au rouage. Maintenus par deux ponts de type doigt, les barillets sont positionnés de manière symétrique sur la partie droite du cadran entièrement ouvert. Le rituel du remontage manuel se déroule tel une chorégraphie hypnotique : le mouvement des deux roues à rochet remontant les deux barillets dans des directions opposées est entièrement visible du côté du cadran.
Autre caractéristique de cette nouvelle montre, son indicateur de réserve de marche. En accord avec la profondeur architecturale du mouvement, celle-ci est indiquée par un système à cône, inspiré des montres de poche. Il consiste en un cône poli miroir, actionné par un rouage conique sur le côté opposé du cadran.
Une autre innovation surprenante, le positionnement des aiguilles des heures et des minutes. Habituellement décalées sur les montres de la marque, elles sont ici parfaitement positionnées au centre du cadran ouvert. Quant à la petite seconde à 9 heures, elle est affichée sur un petit cadran noir portant le logo « AS ».
Enfin, comme toutes les créations Armin Strom, la One Week dispose des finitions à la main de la haute horlogerie : surfaces perlées, angles polis et chanfreinés, platines ornées de côtes de Genève… Cette première édition se distingue en particulier par sa platine principale et ses ponts en PVD bleu glacier clair.